Madame Grandet mettait constamment une robe de levantine verdâtre, qu’elle s’était accoutumée à faire durer près d’une année.— (Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, 1834)
Chaussée de brodequins en prunelle, de bas de soie gris, armée d’une robe en magnifique levantine, les cheveux en bandeau sous une très-jolie capote en velours noir doublée de satin jaune, Lisbeth alla rue Saint-Dominique par le boulevard des Invalides, en se demandant si le découragement d’Hortense lui livrerait enfin cette âme forte, et si l’inconstance sarmate, prise à l’heure où tout est possible à ces caractères, ferait fléchir l’amour de Wenceslas.— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
(Armement)Dague en usage du XV au XVIe siècle, dont le pommeau était divisé en deux ailes, d'où son surnom dague à oreilles.
De la 'levantine... ça se vendra comme du pain... dit la veuve en puisant à son tour dans la caisse.— (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, Quarto Gallimard, p. 672.)