Note : Le verbe frire et ses dérivés sont défectifs à de nombreux temps. On supplée généralement ceux-ci au moyen des temps du verbe faire et de l’infinitif frire : « nous faisons frire ; que je fasse frire, que je fisse frire, etc. »[1][2]
Jusqu’au tout début du XXe siècle, on peut encore trouver les flexions manquantes, même s’il y a des hésitations (comparez avec le verbe rire[3]) :
[3]« On ne voit pas vraiment pourquoi, dit Littré, ce verbe est défectif et ne se conjugue pas comme rire : nous frions, vous friez ; je friais ; que je frie ; que je frisse ; friant. »— (Maurice Grevisse, Le Bon Usage, J. Duculot, 1959)