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(fin XVIIIe siècle) De l'allemand Mond (« lune ») et de l'allemand Milch (« lait ») c'est à dire "lait de lune". Lait car ces dépôts sont très riches en eau et si on les écrase de la main il reste un liquide blanchâtre.
Etude sur l'activité nitrifiante des mondmilchs vivants. Le mondmilch qui a servi à nos expériences provient de l'étage supérieur de la Grotte Bernard, étage qui s'ouvre à 7 m de profondeur.— (Annales de spéléologie, volume 27, éd. du CNRS, 1972)
Les minéraux qui composent le mondmilch sont généralement en rapport avec la nature de la roche mère. Outre des constituants qui peuvent être considérés comme des impuretés (argiles, quartz, matière organique, etc.), [...].— (Bulletin de la Société française de minéralogie et de cristallographie, volume 85, 1962)
Le Bergmilch ou Mondmilch (lait de montagne ou lait de lune) fut mentionné pour la première fois, en 1896[note : c'était pourtant déjà connu depuis un siècle], par le professeur Kloos de Brunswick qui décrivait cette concrétion pâteuse, blanche, imprégnée d'eau. Il avait, après un examen approfondi, vu qu'il s'agissait d'un agrégat de tout petits cristaux en forme d'aiguilles.— (Michel Bouillon, Découverte du monde souterrain, éd. Robert Laffont, 1972)
