Son mouillé de l'avoine restant après le filtrage de la préparation de la bouillie d’avoine.
Serret ’vije dorniadoù deus an heni grossañ, hag a vije gwasket ha gwasket. Se oa ar gwaskin.— (Jean-Yves Plourin, Tammoù gwaskin, Éditions Armeline, 2005, page 194)
On rammassait le plus gros par poignées et on le pressait pendant un bout de temps. C’était ça, le « gwaskin ».