coque du Levant
Étymologie
[modifier le wikicode]Locution nominale
[modifier le wikicode]| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| coque du Levant | coques du Levant |
| \kɔk du lə.vɑ̃\ | |
coque du Levant \kɔk du lə.vɑ̃\ féminin
- (Botanique) Nom vernaculaire de Anamirta cocculus, arbuste grimpant de la famille des ménispermacées (Menispermaceae), originaire des régions tropicales d’Asie.
Dans sa composition planisphérique illustrant les matières médicales les plus saillantes de la pharmacopée, Eekman a figuré les lieux de récolte ou de production de l’époque moderne. Chaque plante, chaque drogue, y apparaît représentée en un échantillon accompagné de son nom. Notre périple planétaire débute au Japon avec le camphre et le thé. Puis en Australie sont présents le santal, l’eucalyptus, le camphre, la noix vomique, les duboisias et les kinos. De la Nouvelle-Guinée ressort le quinquina, de Bornéo le niaouli, des Célèbes la girofle, de Java le benjoin et la coque du Levant.
— (Francis Trépardoux, Les médicaments d'origine biologique à travers le monde, fresque originale peinte en 1961 par Nicolas Eekman (1889-1973) in : Revue d’Histoire de la Pharmacie, année 2002, no 334, page 287)
Traductions
[modifier le wikicode]- Conventions internationales : Anamirta cocculus (wikispecies)
- Allemand : Scheinmyrte (de)
- Anglais : fishberry (en), Levant nut (en)
- Espagnol : coca de Levante (es), cóculo oriental (es)
- Tchèque : chebule (cs), kebule (cs)
Voir aussi
[modifier le wikicode]- cocculus
- coque du Levant sur l’encyclopédie Wikipédia
