Le joran qui descend du Jura, le morget du matin, le vaudaire qui déboule de la vallée du Rhône, le foehn qui fait fondre la neige, le vent-blanc, ainsi appelé parce qu’à son passage le lac moutonne, le séchard, le fraidieu qui bouscule les après-midi calmes, et d’autres encore.— (Philippe Mezescaze, Où irons-nous dimanche prochain ?, 1996, page 106)
Les calmes et les brises variables ne nous permirent qu’au bout de six jours de sortir du milieu de ce groupe d’îles et des innombrables récifs qui les environnent.— (Dillon, Voyage dans la mer du sud, Revue des Deux Mondes, 1830, tome 1)