Le premier nom, La Péri, semble inspiré sans plus par l’orientalisme factice des musiciens de l’époque, d’un Massenet ou d’un Léo Delibes, ou plutôt par une ode du jeune Hugo.— (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 345)
Tout, chez elle, était en harmonie avec ces caractères de la péri des sables ardents.— (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, première partie)
D’azur aux trois fleurs de lys d’or, au bâton péri de gueules en bande, au chef cousu du même chargé de trois annelets, entrelacés d’argent rangés, qui est de la commune de Bogny-sur-Meuse des Ardennes → voir illustration « armoiries avec un bâton péri »
A moins d’une lieue de Vendœuvres, en allant sur le marais de Bellebouche, au lieu dit « le button aux fades », une famille d’hommes libres, venant de la région d’Erfurt, a été pourvue par notre souverain d’un domaine, en remplacement d’Aquitains qui avaient péri pendant la guerre, il y a cela plus de vingt ans.— (Marc Paillet, Le spectre de la nouvelle lune, éditions 10/18, 1997, chapitre premier, page 20)