Le pékan se nourrit de petits mammifères ou de plus grosses proies comme des écureuils, des lièvres et même des martres d’Amérique.
Les étoles en vison, les cols de martre et de pékan, les manteaux de loutre portaient des étiquettes respectables. Et cependant, on était en fin d’hiver, au moment des sacrifices de printemps.— (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 153)
De tels soupçons ont été confirmés alors qu’un pékan s’est attaqué à un chat sous les yeux de son propriétaire à Rigaud.— (Elisabeth Caron, Attaques de pékans, article du Journal première édition du 3 septembre 2010)