À comparer au gallois cilydd « ami, compagnon, voisin », au cornique kyla « compagnon, camarade » et à l’irlandais céile « ami »[1].
Issu du celtique *kili(j)os[2], qui remonte à l’indo-européen *ḱei-, duquel procèdent le latin cīvis « concitoyen », vieux haut-allemand hīwo « époux » et letton siẽva « épouse ».
Daoust dit, kile, e kerzhi evel-se ’trezek ar Gouloù [...].— (Gwilherm Berthou Kerverziou, Barzhaz, in Al Liamm, no 48, janvier-février 1955, page 80)
Malgré toi, ami, tu marcheras vers la Lumière.
Meur a hini o deus gwelet o cʼhile o kouezhañ Hag a zo aet d’o zro a-greiz fulor ar gad Goude bezañ laosket o zennoù diwezhañ.— (Barzhonegoù gouez, in Al Liamm, no 57, juillet-août 1956, page 4)
Plusieurs ont vu leur compagnon tomber, et sont allé à leur tour au milieu de la furie du combat, après avoir tiré leurs dernières cartouches.
Ur sizhun kent (deiz) Samain e oa, ha pep hini eus gwazed Iwerzhon a gimiadas diouzh e gileed, [...].— (Kad Mag Tured, traduit du moyen irlandais par Gwilherm Berthou Kerverziou et Arzel juin, in Al Liamm, no 24, janvier-février 1951, page 49)
C’était une semaine avant (le sour de) Samain, et chaque homme d’Irlande fit ses adieux à ses amis.
Coin, pièce de fer ou de bois ou de toute autre matière dure, de forme prismatique, dont on se sert principalement pour fendre du bois, des pierres, en la faisant entrer de force avec un maillet ou un marteau.
(Par extension) Pour décrire des objets de la forme d’un coin.
Coin, pièce de fer ou de bois ou de toute autre matière dure, de forme prismatique, dont on se sert principalement pour fendre du bois, des pierres, en la faisant entrer de force avec un maillet ou un marteau.
Coin, pièce de fer ou de bois ou de toute autre matière dure, de forme prismatique, dont on se sert principalement pour fendre du bois, des pierres, en la faisant entrer de force avec un maillet ou un marteau.