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L’ayrshire est moins longue que la holstein.— (Université Laval. École supérieure d’agriculture de Ste. Anne de la Pocatière: Manuel d’agriculture, volume 2, 1933)
Il y a même les vaches, non pas les holsteins mais les normandes. Fumée des poêles dans le crachin breton.— (Laurence Nobécourt, Patagonie intérieure, 2013)
Enfin, l’ensemble serait un beau cheval de trait ou de carosse, et nos chevaux de Flandre rivaliseraient avec les mecklenbourgeois, les holsteins et même avec les normands, déjà fort dégénérés depuis qu’on a voulu, sans réflexion, les croiser avec des chevaux fins et grêles.— (Vicomte du Toict, « Notice sur les haras », in Journal d’agriculture, d’économie rurale et des manufactures du royaume des Pays-Bas, tome XVIII, n° 117, L. Poublon, Imprimeur, Bruxelles, juillet 1824)
En biologie, le genre, premier mot du nom binominal et les autres noms scientifiques (en latin) prennent toujours une majuscule. Par exemple, pour l’être humain moderne : Homo sapiens, famille : Hominidae. Quand ils utilisent des noms en français, ainsi que dans d’autres langues, les naturalistes mettent fréquemment une majuscule aux noms de taxons supérieurs à l’espèce (par exemple : les Hominidés, ou les hominidés). Un nom vernaculaire ne prend pas de majuscule, mais on peut en mettre une quand on veut signifier que l’on parle non pas d’individus, mais de l’espèce (au sens du couple genre-espèce), du genre seul, de la famille, de l’ordre, etc.
Christian Meyer, éditeur scientifique, Dictionnaire des sciences animales, Cirad, Montpellier, France, 2024, [date de consultation : août 2013], article taurin Prim'Holstein