génio-hyoïdien
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]Adjectif
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | génio-hyoïdien \ʒe.ɲo.jo.i.djɛ̃\ |
génio-hyoïdiens \ʒe.ɲo.jo.i.djɛ̃\ |
Féminin | génio-hyoïdienne \ʒe.ɲo.jo.i.djɛn\ |
génio-hyoïdiennes \ʒe.ɲo.jo.i.djɛn\ |
génio-hyoïdien \ʒe.ɲo.jo.i.djɛ̃\
- (Squelette) Qui appartient à l’apophyse géni et à l’os hyoïde.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Traductions
[modifier le wikicode]Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
génio-hyoïdien | génio-hyoïdiens |
\ʒe.ɲo.jo.i.djɛ̃\ |
génio-hyoïdien \ʒe.ɲo.jo.i.djɛ̃\ masculin
- (Anatomie) Ellipse de muscle génio-hyoïdien.
Les auteurs classiques ont l’habitude de décrire, dans la région sus-hyoïdienne, quatre muscles distincts : le digastrique, le stylo-hyoïdien, le mylo-hyoïdien et le génio-hyoïdien. Nous ajouterons à ces muscles, sous le titre de muscles sus-hyoïdiens surnuméraires, certains faisceaux qui apparaissent quelquefois dans cette région. Tels sont : le mento-hyoïdien de Macalister, l’occipito-hyoïdien de Perrin, le pétro-hyoïdien de Calori, etc.
— (Léo Testut, Les Anomalies musculaires chez l’homme expliquées par l’anatomie comparée, G. Masson, Éditeur, Paris, 1884)
Traductions
[modifier le wikicode]Prononciation
[modifier le wikicode]- La prononciation \ʒe.ɲo.jo.i.djɛ̃\ rime avec les mots qui finissent en \jɛ̃\.
- France (Lyon) : écouter « génio-hyoïdien [ʒe.ɲo.jo.i.d̪jɛ̃] »
Références
[modifier le wikicode]- « génio-hyoïdien », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- « génio-hyoïdien », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage