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L’ethnohistoire, l’histoire des peuples sans écriture est, on le sait, la critique historique des traditions orales censées véhiculer la mémoire du passé— (Luc de Heusch, Pouvoir et religion, Éditions de la Maison des sciences et Ethnohistoire, chapitre 3. → lire en ligne)
D’une certaine manière, je souhaiterais témoigner que pour ceux ne pratiquant pas l’ethnohistoire, ils peuvent malgré tout se sentir encouragés par ce que j’appellerai une « attitude d’ethnohistoire »— (Patrick Boucheron, Les arêtes du pouvoir : l’ethnohistoire à l’épreuve du politique, acte de colloque du musée du Quai Branly, 13 mai 2016. → lire en ligne)
