brution
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- Du latin Bruttium (région de l’Italie antique).
Nom commun 1
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
brution | brutions |
\bʁy.sjɔ̃\ |
brution \bʁy.sjɔ̃\ masculin (pour une femme, on dit : brutionne) Note : Avec la féminisation du recrutement, le terme brutionne est apparu.
- (Argot scolaire) Élève ou ancien élève du Prytanée national militaire de La Flèche.
- La fondation de cette école eut lieu en 1608. Descartes fut l'un de ses premiers élèves. Elle fut dissoute pendant la Révolution, puis refondée en 1804 pendant l’époque napoléonienne. Ses élèves, après leur scolarité, intégraient l’école militaire de St-Cyr, ils étaient très frustres et se battaient « comme des lions, ceux du Brutium », ce qui les fit surnommer par leurs camarades : les Brutions.’'
Synonymes
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]Nom commun 2
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
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brution | brutions |
\bʁy.sjɔ̃\ |
brution \bʁy.sjɔ̃\ masculin
- Argot parlé par ces mêmes élèves[1].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Traductions
[modifier le wikicode]Prononciation
[modifier le wikicode]- France (Paris) : écouter « brution [Prononciation ?] »
- France (Lyon) : écouter « brution [Prononciation ?] »
Anagrammes
[modifier le wikicode]→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussi
[modifier le wikicode]- brution sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
[modifier le wikicode]- Larousse du XXe siècle, 1928-1933
- ↑ Jean-Paul Colin, Jean-Pierre Mével, Christian Leclère, Dictionnaire de l’argot et du français populaire, Éditions Larousse, Paris, 2010, ISBN 978-2-03-585299-1