De manière générale, l’accent diacritique tonique à l'imparfait ainsi qu’au futur du subjonctif ne se place qu’à la première personne du pluriel, sauf rares exceptions.
L'impératif de haber est peu usité ; en particulier les flexions de la deuxième personne du singulier (he) et du pluriel (habed) sont archaïques et figées dans de rares expressions comme He aquí el hombre (« Voici l'homme ») ; pour la deuxième personne du singulier, il existe aussi la forme habe, proche de l'étymologie latine habere, encore plus archaïque.