Charette, qui, depuis la prise de Noirmoutiers par les républicains , ne disposait plus que de faibles bandes, sévit de nouveau à la tête d'une armée; et, le 26 nivôse (15 janvier), il fut en mesure de battre les bleus à Chancé et à Légé : […].— (Amédée Gabourd, Histoire de la révolution et de l'empire : Convention nationale (t.2), Paris : Jacques Lecoffre, 1847, vol.4, p.100)
Il achève cette retraite le 23 septembre à 19 heures, et à 20 heures il part sur la Bretagne, faisant pendant la nuit 200 kilomètres en chemin de fer et puis vingt-cinq autres dans une charrette pour se rendre à Chancé, près de Chateaugiron.— (René Charrier, Jean-Baptiste Loevenbruck (1795-1876): Missionnaire de France et d'ailleurs, Karthala, 2013., p.438)