Forme mutée de la troisième personne du pluriel l'irréel du verbebezañ, « être ».
Ma vijent bet primocʼh, an eil hag egile, e vijent bet aet pellocʼh, ha diwar nebeud a dra koulskoude.— (Ivon Krog, Eur zacʼhad marvailhou, Buhez Breiz, 1924, page 124)
S’ils avaient été plus prompts, l’un et l’autre, ils seraient allé plus loin, et pour presque rien cependant.