tranquilité
Apparence
Étymologie
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Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
tranquilité | tranquilités |
\tʁɑ̃.ki.li.te\ |
tranquilité \tʁɑ̃.ki.li.te\ féminin
- (Désuet) ou (Non standard) Variante orthographique pour tranquillité.
Ils savent aussi tout l'avantage que peuvent leur procurer la Hollande et la Zélande, ils font tous leurs efforts pour les gagner ; mais ils n'ont pu réussir jusqu'ici, à cause de la tranquilité dont ces provinces jouissent, conservant avec tant de succès leur position contre nous.
— (Mémoires de Frédéric Perrenot, sieur de Champagney : 1573-1590, avec notices & annotations de A. L. P. de Robaulx de Soumoy, Bruxelles : chez F. Haussner & La Haye : chez Martin NijHoff, 1860, page 263)Mais avant de prononcer, elle a cru devoir vous avertir des dangers que couraient la tranquilité publique ; elle a craint peut être de voir son autorité compromise et elle a voulu appuyer ses démarches de votre suffrage.
— (Ferdinand André, Documents relatifs à l'histoire du Gévaudan, tome 2 : Procès-verbaux des délibérations des États du Gévaudan, chez C. Privat, 1876)Le mieux est donc de goûter aux charmes d’Èze hors saison, ou de préférer les premières heures de la matinée ou la fin d'après-midi, lorsque le village retrouve un peu de tranquilité et de magie.
— (Isabelle Ros, Emmanuel Dautant, Élodie Rothan & al , Côte d'Azur et arrière-pays, 2e éd., Paris : Lonely Planet, 2011)
Notes
[modifier le wikicode]Dérivés
[modifier le wikicode]Références
[modifier le wikicode]- Abbé Jean-François Féraud, Dictionaire critique de la langue française, tome 3 (O-Z), Marseille : chez Jean Mossy, 1788, p. 725
Nom commun
[modifier le wikicode]tranquilité \tʁɑ̃.ki.li.te\ féminin
- Tranquillité.
Et s'il estoit veritable,que ceux qui ne se meslét, n'entremettent de beaucoup de choses , fussent en repos & tranquilité, par ceste raison les femmes seroient plus heureuses que les hommes. Car elles viuroient en plus grande tranquilité d'esprit, attendu qu'elles ne bougent pour la plus part de la maison, […].
— (Jean Cotreau, Traicté du repos et tranquilité de l'âme, divisé en troys livres, Paris : chez Guillaume Chaudière, 1575, page 53)