theurgicus
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- Du grec ancien θεουργικός, theourgikós.
Adjectif
[modifier le wikicode]Cas | Singulier | Pluriel | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Masculin | Féminin | Neutre | Masculin | Féminin | Neutre | |
Nominatif | theurgicus | theurgică | theurgicum | theurgicī | theurgicae | theurgică |
Vocatif | theurgice | theurgică | theurgicum | theurgicī | theurgicae | theurgică |
Accusatif | theurgicum | theurgicăm | theurgicum | theurgicōs | theurgicās | theurgică |
Génitif | theurgicī | theurgicae | theurgicī | theurgicōrŭm | theurgicārŭm | theurgicōrŭm |
Datif | theurgicō | theurgicae | theurgicō | theurgicīs | theurgicīs | theurgicīs |
Ablatif | theurgicō | theurgicā | theurgicō | theurgicīs | theurgicīs | theurgicīs |
theurgicus \Prononciation ?\
- Théurgique.
Ecce nunc alius Platonicus, quem doctiorem ferunt, Porphyrius, per nescio quam theurgicam disciplinam etiam ipsos deos obstrictos passionibus et perturbationibus dicit, quoniam sacris precibus adiurari tenerique potuerunt, ne praestarent animae purgationem, et ita terreri ab eo, qui imperabat malum, ut ab alio, qui poscebat bonum, per eandem artem theurgicam solui illo timore non possent et ad dandum beneficium liberari.
— (Augustin d'Hippone, De civitate Dei, X)- Voici donc qu’un philosophe platonicien, Porphyre, réputé plus savant encore qu’Apulée, nous dit que les dieux peuvent être assujétis aux passions et aux agitations des hommes par je ne sais quelle science théurgique ; nous voyons en effet que des conjurations ont suffi pour les effrayer et pour les faire renoncer à la purification d’une âme, de sorte que celui qui commandait le mal a eu plus d’empire sur eux que celui qui leur commandait le bien et qui se servait pourtant du même art. — (traduction)
Apparentés étymologiques
[modifier le wikicode]Références
[modifier le wikicode]- « theurgicus », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
- « theurgicus », dans Charlton T. Lewis et Charles Short, A Latin Dictionary, Clarendon Press, Oxford, 1879 → consulter cet ouvrage