Un ravenala, l’arbre du voyageur, dressait son bouquet d’immenses écrans chinois.— (Émile Zola, La Curée, 1871)
Dans les engainements des feuilles s'accumule de l'eau, d'où le nom d'arbre à eau donné au ravenala qui croît surtout à Madagascar.— (Dictionnaire encyclopédique Quillet, Paris, 1934)