quèque
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- (Nom) Probablement à rapprocher d’un faisceau de mots le plus souvent péjoratifs, coquin, coco, cacou, kéké, quéqué, quéquet.
- (Adjectif indéfini) De quelque.
Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
quèque | quèques |
\kɛk\ |
quèque \kɛk\ masculin
Variantes orthographiques
[modifier le wikicode]Adjectif indéfini
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
quèque | quèques |
\kɛk\ |
quèque \kɛk\ masculin et féminin identiques
- (Populaire) Variante de quelque.
Quèque part, j’me dis qu’c’est pas la peine.
Et enfin, soupire Gugusse, « il faudrait quèque chose qu’on en ait gros comme un pain de quat’ livres pour un sou ».
— (Léon Frapié, Le sou, dans Les contes de la maternelle, 1910, éditions Self, 1945, page 179)— Eh bien ! Simon… On t’a demandé quèqu’chose !
— (Yves Gibeau, Allons z’enfants, 1952)
Variantes orthographiques
[modifier le wikicode]- queque
- — De la pisse d'évêque, pensa-t-elle, v'là queque chose de sacré! — (Rodolphe Girard, Marie Calumet, Montréal, 1904, chapitre X)
- quéque
- Car enfin, moi qui ne me bats pas, si je suis une vraie camarade, je ne dois pas avoir d’autre préoccupation que de troquer mes bonbons contre « quéque chose ». — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- Si je vous disais : y a quéque temps, un soir, chez le marchand de vins, j’étais debout devant le comptoir, que je buvais quéque chose. — (Léon Frapié, La croix, dans Les contes de la maternelle, éditions Self, 1945, page 28)
Prononciation
[modifier le wikicode]- France (Vosges) : écouter « quèque [Prononciation ?] »
- Canada (Shawinigan) : écouter « quèque [Prononciation ?] »