Nous avons choisi de réaliser un plessis pour créer un massif de fleurs ou de simples comme dans les abbayes ou jardins de curé.
Au sommet du versant du plateau, sur les deux bords de la cour : la haie ou plessis ; sur le revers du deuxième fossé, encore une haie, un plessis et un pont, comme au premier fossé ; sur le contour de la cour, haie ou plessis avec tour de bois ronde ou carrée, ayant peu de saillie sur la fortification.— (Jules Roy, L’an mille : formation de la légende de l’an mille, Librairie Hachette, Paris, 1885)
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage (plaisseis)