nucléocytoplasmique
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- Ce mot est formé avec les éléments nucléo- et cytoplasmique.
Adjectif
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
nucléocytoplasmique | nucléocytoplasmiques |
\ny.kle.ɔ.si.to.plas.mik\ |
nucléocytoplasmique \ny.kle.ɔ.si.to.plas.mik\ masculin et féminin identiques
- (Biologie) Qui concerne le noyau cellulaire et le cytoplasme.
- (considérés dans leur ensemble)
- Qui concerne à la fois le noyau et le cytoplasme.
La tendance actuelle des cytologistes est de rendre au clinicien un compte rendu détaillé décrivant les anomalies nucléocytoplasmiques toujours associées à une proposition diagnostique précise.
— (Bernard Blanc, Christian Jamin et Charles Sultan, Traité de gynécologie médicale, Springer, 2004, 608 p.)
- Qui concerne un système comprenant un noyau et un cytoplasme, c’est-à-dire une cellule eucaryote.
Les grands virus nucléocytoplasmiques à ADN de l’esturgeon (Acipenseridae), parmi lesquels figure le virus de l’iridovirose de l’esturgeon blanc, faisaient précédemment partie des virus non classés de la famille des Iridoviridae, mais on songe maintenant à les intégrer à la famille des Mimiviridae.
— (« Iridovirose de l’esturgeon blanc », site gouvernemental Pêches et Océans Canada)
- Qui concerne à la fois le noyau et le cytoplasme.
- (considérés séparément)
- Qui concerne le noyau comparativement au cytoplasme.
De la profondeur à la surface, ces cellules se différencient, c’est-à-dire qu’elles augmentent de taille, les noyaux de grande taille deviennent de plus en plus petits, donnant à ces cellules un rapport nucléocytoplasmique moins important dans les couches superficielles que dans les couches profondes.
— (Georges Sadoul, Jean-Louis Benifla, Thérèse Beuret-Sadoul et Patrick Madelenat, Atlas de gynécologie : colposcopie, vulvoscopie, hystéroscopie, cœlioscopie, Elsevier Masson, 2009, 355 p.)
- Qui s’opère entre le noyau et le cytoplasme.
La protéine Rev pénètre dans le noyau et se fixe sur une séquence particulière de l’ARN viral, l’élément de réponse à Rev (RRE pour « Rev response element »). Rev se fixe également à une protéine de transport nucléocytoplasmique de l’hôte, la protéine Crm1, qui permet l’utilisation des voies cellulaires pour exporter les ARNm viraux vers le cytoplasme à travers les pores nucléaires.
— (Charles A. Janeway, Paul Travers, Mark Walport et Mark Shlomchik (trad. Gilles Duverlie et Sylvie Fournel, rév. Pierre L. Masson), Immunobiologie, De Boeck, 2003, 2e éd., 782 p.)
- Qui concerne le noyau comparativement au cytoplasme.
- (considérés dans leur ensemble)