meurthe-et-mosellan
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- dérivé de Meurthe-et-Moselle, avec le suffixe -an.
Adjectif
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | meurthe-et-mosellan \mœʁ.t‿e mɔ.zɛ.lɑ̃\ |
meurthe-et-mosellans \mœʁ.t‿e mɔ.zɛ.lɑ̃\ |
Féminin | meurthe-et-mosellane \mœʁ.t‿e mɔ.zɛ.lan\ |
meurthe-et-mosellanes \mœʁ.t‿e mɔ.zɛ.lan\ |
meurthe-et-mosellan \mœʁ.t‿e mɔ.zɛ.lɑ̃\
- (Géographie) Relatif à la Meurthe-et-Moselle et à ses habitants.
La place de choix tenue en France par les diverses institutions de réhabilitation meurthe-et-mosellanes a été soulignée par ce colloque ; un vaste rapport d'enquête est en préparation qui présentera les enquêtes nationales sur ce thème.
— (Joanny Ray, « Activités du C.R.E.D.E.S. en 1960-1961 », dans la Revue géographique de l'Est, vol. 2, 1962, page 194)La bizarrerie administrative dont elle est victime, Othe s'en accommode depuis fort longtemps. Pensez donc ! Depuis 1790 (création des départements) qu'elle vit avec son statut d'enclave meurthe-et-mosellane en territoire meusien, elle s’est fait une raison.
— (Xavier Brouet & Richard Sourgnes, « Anecdote : Othe, l'irréductible village entre en résistance », dans La Lorraine pour les Nuls, Éditions First, 2012, page 372)Le 18 avril 1986, Jean-Paul Mougel est élu responsable du PC meurthe-et-mosellan par le comité fédéral. Le nouveau premier secrétaire se trouve dans une situation fragile : il n'est pas considéré comme contestataire par les rénovateurs ([…]), tout en étant étiqueté comme tel par la direction nationale, […].
— (Julian Mischi, Le Communisme désarmé: Le PCF et les classes populaires depuis les années 1970, éd. Contre-feux/Agone, 2014)Les premiers rejoignent les syndicats meurthe-et-mosellans pour former la fédération régionale des mineurs de Fer et de Sel de L'Est, tandis que les seconds fondent une fédération régionale des mineurs de charbon CGT.
— (Sylvain Cothias, « La grève des mineurs de 1963 dans les houillères de Lorraine : témoin de la résilience des syndicats de mineurs », dans Les Houillères entre l'État, le marché et la société: Les territoires de la résilience XVIIIe-XXIe siècles, sous la direction de Sylvie Aprile & al., Presses Universitaires du Septentrion, 2016, p. 38)