manicanterie
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- (1651) Voir manécanterie.
Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
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manicanterie | manicanteries |
\ma.ni.kɑ̃.tʁi\ |
manicanterie \ma.ni.kɑ̃.tʁi\ féminin
- (Désuet) Variante de manécanterie.
Les [chanoines] n’entendant toutes fois lesdits seigneurs que ledit Godart abuse de la dispence ains luy enjoignent à vacquer assidûment à ladite manicanterie et instruction des clerjons, comme il y est tenu, aux peynes du droit.
— (Acte capitulaire du Chapitre de Saint-Jean, 7 novembre 1651, cité par J.-M.-H Forest, L’Ecole cathédrale de Lyon, le petit-séminaire de Saint-Jean, librairie Briday, 1885, page 107)- Je fis la gamme d’ut à ut en montant puis en descendant. Maître Effarane ne parut point satisfait. Il m’ordonna de recommencer… Ça n’allait pas… Ça n’allait pas. J’étais très mortifié. Moi, l’un des meilleurs de la manicanterie […] — (Jules Verne, « M. Ré-Dièze et Mlle Mi-Bémol », texte paru pour la première fois dans le Figaro illustré de décembre 1893 et figurant pages 63 à 111 in Hier et demain : contes et nouvelles, Hetzel, 1911, partie VII, page 94. Texte procuré par Wikisource : s:fr:M. Re-Dièze et Mlle Mi-Bémol, et s:fr:Page:Verne - Hier et demain, 1910.djvu/106 pour la page 94)