Jeu où une personne, courbée sur les genoux d’une autre et les yeux fermés, reçoit des coups dans une de ses mains, qu’elle tend derrière elle, et doit deviner qui l’a touchée.
Elle vint vers lui, et prit ses mains ; elles les prit dans deux grandes mains brunies qu’on eût dites créées pour jouer à la main chaude, et recevoir de lourdes tapes.— (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 151)
Moufle ou gantisolant protégeant la main en cas de contact avec une surface brûlante.
En cuisine, on se sert d’une main chaude pour prendre un plat dans un four encore chaud.