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(Médecine non conventionnelle) Pratique de la médecine recourant simultanément à la médecine fondée sur les preuves et à des pratiques de soin n'ayant pas, ou pas encore, fait la démonstration d'un caractère approprié, efficace et sécuritaire, voire ayant été démontrées dépourvues de ces qualités.
La Féna milite pour une reconnaissance officielle de la discipline, qui permettrait, selon elle, d’améliorer la qualité des formations, voire pour une « médecine intégrative » qui mêlerait naturopathie et pratique scientifique.— (« La difficile régulation des thérapies « alternatives » », dans Le Monde, 1 septembre 2022)
Caroline Gayet prend donc bien soin de le préciser : tout ne se soigne pas par les plantes. « Je milite pour une médecine intégrative, c'est-à-dire une médecine qui associe les traitements allopathiques [sic] classiques [sic] et ceux à base de plantes.— (« Caroline : “ Les plantes ont changé ma vie ” », dans Nous Deux, 7 septembre 2022)
Mais toutes ces mesures [contre les médecines alternatives] n’ont pas freiné l’engouement des patients pour cette médecine intégrative et centrée sur l’humain.— (Dr Xavier Bazin, “Jour de deuil”, 15 septembre 2021.)
Cet ancien chirurgien urologue devenu psychothérapeute plaide pour une médecine « intégrative » associant la technicité occidentale [sic] et les médecines douces [sic] d'inspiration asiatique ainsi que des outils tels que la relaxation, l'hypnose ou la méditation.— (« Les vertus neurologiques de la méditation », dans L'Obs, 25 juin 2015)
