(1602)Du Liquidambar, & de ſon huyle. La Reſine que nous appellons Liquid-ambar, eſt vne certaine choſe graſſe & huileuſe, que nous appellons Huyle de Liquid-ambar, nous ſont apportés de la nouuelle Eſpagne l’vn et l’autre deſquels treſodiriferant, principalement l’Huyle qui est d’vne odeure tres delicate & ſouëfue.— (Garcia d'Orta, Histoire des drogues, espiceries, et de certains médicamens simples, Lyon, translaté en nostre vulgaire François sur la traduction Latine de Clusius par Anthoine Colin, 1602, page 519)
Des gisements célèbres du Groenland ont été étudiés par Heer. On y trouvait Noisetiers, Magnolias, Liquidambars, Vignes, Platanes, et des Conifères comme les Cyprès chauves.— (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 55)
Aurore d’eau fraîche et de miel. Blanche respiration des troupeaux. Dans les liquidambars, les cenzontles chantaient. La fleur des verveines allait éclater…— (Miguel Angel Asturias, Légendes du Guatemala, traduit de l'espagnol par Francis de Miomandre, Gallimard, collection Folio, 2011, page 24)
Le liquidambar a été introduit en 1681 en Europe où il est aujourd’hui très répandu.— (Wikipédia, article Liquidambar)
Baume sécrété par cet arbre et utilisé autrefois dans la fabrication de certains vernis.
[...] ce baume liquide qui se sépare, par le repos, en deux parties connues sous le nom de liquidambar liquide ou huile de liquidambar et de liquidambar mou ou blanc. Ce dernier seul sert dans la fabrication des vernis à l'alcool.— (Laurent Naudin, Fabrication des vernis, Éd. Gauthier-Villars, 1893)
Gérard Dumé, Christian Gauberville, Dominique Mansion, Jean-Claude Rameau, Jacques Bardat, Éric Bruno, René Keller, Alain Lecointe et Jean Timbal, Flore forestière française — Plaines et collines, Institut pour le développement forestier, 2018, ISBN978-2-916525-47-1