lancastrien
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- Dérivé de Lancastre, avec le suffixe -ien ou de l’anglais Lancastrian.
Adjectif
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | lancastrien \lɑ̃.kas.tʁjɛ̃\ |
lancastriens \lɑ̃.kas.tʁjɛ̃\ |
Féminin | lancastrienne \lɑ̃.kas.tʁjɛn\ |
lancastriennes \lɑ̃.kas.tʁjɛn\ |
lancastrien \lɑ̃.kas.tʁjɛ̃\
- Relatif à Lancaster.
- (Éducation) Relatif au système éducatif mutuel créé par Joseph Lancaster.
Dans plusieurs articles , nous avons démontré l'avantage des écoles lancastriennes sur les vieilles méthodes.
— (L'Écho de la fabrique, 1833)Méthode lancastérienne, ou système d'éducation britannique.
— (Bruxelles, 1816)
- (Histoire) Relatif à la maison de Lancastre.
La guerre civile, dite guerre des Deux Roses, éclate en 1455 ; Marguerite prend la tête du parti lancastrien qui, en 1460, est battu par Warwick à Northampton.
— (Dictionnaire du Moyen Âge, histoire et société, 2014)Les lords lancastriens qui restaient fidèles à sa cause, l'engagèrent à quitter cet asile, la conduisirent à Bath, et levèrent un corps de troupes considérable pour combattre sous sa bannière.
— (Histoire d'Angleterre, 1828)
Variantes
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]- Anglais : Lancastrian (en)
Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
lancastrien | lancastriens |
\lɑ̃.kas.tʁjɛ̃\ |
lancastrien \lɑ̃.kas.tʁjɛ̃\ masculin
- (Histoire) Partisan de la maison de Lancastre et du parti connu sous le nom de Rose rouge.
Réconciliation entre les lancastriens et les yorkistes.
Et, si je ne m’abuse, père d’un lancastrien, compléta Guy sur un ton qui donna à Jane l’impression que son sang se figeait.
— (Helen Dickson, Sous l’emprise du chevalier, 2018)
Traductions
[modifier le wikicode]- Anglais : Lancastrian (en)
Prononciation
[modifier le wikicode]- France (Lyon) : écouter « lancastrien [Prononciation ?] »
Anagrammes
[modifier le wikicode]→ Modifier la liste d’anagrammes
Références
[modifier le wikicode]- « lancastrien », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage