lépiote déguenillée
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- (Siècle à préciser) De lépiote et déguenillée.
Locution nominale
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
lépiote déguenillée | lépiotes déguenillées |
\le.pjɔt dɛg.ni.je\ |

lépiote déguenillée \le.pjɔt dɛɡ.ni.je\ féminin
- (Mycologie) Espèce de champignons à lames, à bulbe et à anneau double, au chapeau couvert d'écailles laineuses et recourbées comme des guenilles.
La lépiote déguenillée est comestible sauf pour des personnes sensibles.
On rapprochera de la coulemelle la lépiote déguenillée — Lepiota rhacodes —, qui lui ressemble et s’utilise de même façon.
— (Jean-Philippe Derenne, L’Amateur de cuisine, Volume 1, 1996)Les champignons les plus parfumés sont : les lépiotes déguenillées, les clitocybes laquées, les tricholomes terreux, etc.
— (Société des sciences naturelles de Saône-et-Loire, Bulletin, 1901)
Notes
[modifier le wikicode]- Peut être utilisé avec une majuscule (Lépiote déguenillée) pour mettre en avant le fait qu’on donne un caractère générique au mot.
Un simple article de dictionnaire n’est pas suffisant pour déterminer l’espèce d’un champignon et prendre le risque de le consommer.
Synonymes
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]- Conventions internationales : Chlorophyllum rhacodes (wikispecies), Macrolepiota rhacodes (wikispecies)
- Allemand : Gemeine Safranschirmling (de)
- Anglais : shaggy parasol (en)
- Espagnol : apagador menor (es)
Hyperonymes
[modifier le wikicode](simplifié)
- champignons (Fungi)
- basidiomycètes
- agaricacées (Agaricaceae)
- basidiomycètes
Prononciation
[modifier le wikicode]- Somain (France) : écouter « lépiote déguenillée [Prononciation ?] »
Voir aussi
[modifier le wikicode]- lépiote déguenillée sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
[modifier le wikicode]- C. Meyer, ed. sc., Dictionnaire des Sciences Animales. [On line]. Montpellier, France, Cirad. [10/2013]. <URL : http://dico-sciences-animales.cirad.fr/> article : lépiotes
- « lépiote déguenillée », dans Cécile Lemoine et Georges Claustres, Mieux connaître les champignons, Éditions Jean-Paul Gisserot, Paris, 1995, page 23 → consulter cet ouvrage