Le président nord-coréen, Kim Jong-un, avec Chung Eui-yong, le chef de la délégation de Corée du Sud, à Pyongyang, le Modèle:date-.Rencontre entre militaires nord-coréens et sud-coréens pour le transfert d'un cadavre en 2013 à Panmunjeom.
Alors que la déclaration de juin 2000 à l’issue du premier sommet entre les deux pays, qui a ouvert la voie à la réconciliation, restait sur le registre des généralités, le président sudiste Roh Moo-hyun et le dirigeant nordiste Kim Jong-il ont été plus loin en appelant à transformer l’armistice de 1953 en régime de paix et en énumérant plusieurs projets concrets de coopération économique intercoréenne.— (Philippe Pons, « Les deux Corées sur la voie de la paix ? », Le Monde, 18 octobre 2007)
À l’occasion du 13e anniversaire de la déclaration commune résultant du premier sommet historique intercoréen, la Corée du Nord a mis en avant aujourd’hui la signification de cet accord dit du 15 juin.— (« Les médias nord-coréens demandent l’application de la déclaration commune du 15 juin », KBS World Radio, 15 juin 2013)
Construites en 2003 en pleine politique dite du « rayon de soleil » de rapprochement intercoréen, elles permettaient de relier le Sud au complexe industriel de Kaesong et au site touristique du mont Kumgang, tous deux au Nord.— (La Corée du Nord poursuit son entreprise de destruction des symboles d’une réunification avec le Sud, Philippe Mesmer, Le Monde, 16 octobre 2024)