hypothymique
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- (1857)[1] Dérivé de hypothymie, avec le suffixe -ique.
Adjectif
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
hypothymique | hypothymiques |
\i.pɔ.ti.mik\ |
hypothymique \i.pɔ.ti.mik\
- (Psychologie, Psychiatrie) Relatif à l’hypothymie.
Bientôt se montrèrent des symptômes hypothymiques, du délire.
— (Gazette des hôpitaux de Toulouse, 8e année, no 21, 26 mai 1894, page 165)Si l’on s’en tient à la distinction du plan du syndrome et du plan de la maladie, il n’est pas possible d’opposer à la cyclophrénie, maladie hyperthymique, le syndrome schizophrénique mais bien l’hébéphrénie, maladie hypothymique.
— (Jean Delay, Les dérèglements de l’humeur, Presses universitaires de France, Paris, 1946, page 61)L’aspect clinique est celui d’un personnage hypothymique, ayant donc une vie émotive insuffisante.
— (Actes du IIe Congrès international de criminologie (Paris-Sorbonne, septembre 1950), Presses Universitaires de France, Paris, 1952, page 294)
Antonymes
[modifier le wikicode]Apparentés étymologiques
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
hypothymique | hypothymiques |
\i.pɔ.ti.mik\ |
hypothymique \i.pɔ.ti.mik\ masculin et féminin identiques
- (Psychologie, Psychiatrie) Personne présentant une personnalité marquée par l’hypothymie.
C’est parmi les hypothymiques constitutionnels qu’on recrute beaucoup d’enfants suicide.
— (Sante De Sanctis, Les enfants disthymiques, dans les Archives de neurologie, 44e année, no 5, mai 1923, page 194)On peut se demander au point de vue thérapeutique si notre patient, asthénique chronique devenu secondairement un hypothymique incurable, n’était pas susceptible de guérir.
— (Archives suisses de neurologie et de psychiatrie, 1925, page 138)
Traductions
[modifier le wikicode]Prononciation
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Références
[modifier le wikicode]- ↑ Raoul Leroy d’Etiolles, Des paralysies des membre inférieurs, tome II, Victor Masson, Paris, 1857, page 52.