Le massif dioritique de Lesterps, que la route de Bussière-Boffy recoupe transversalement sur 3 kilomètres, est en disposition synclinale : les gneiss plongent sous la diorite aussi bien à l'Ouest, près de Lesterps, que sur la bordure est.— (Maurice Chenevoy, Contribution à l'étude des schistes cristallins de la partie nord-ouest du Massif Central français, Imprimerie Nationale, 1958, page 25)
Les roches de type stratifiées (calcaires, grès…) ou litées (schistes, gneiss) seront beaucoup plus faciles à dérocter que les roches massives (calcaires récifaux, granites, masses basaltiques…), les plans ou joints de stratification donnant presque toujours lieu à certaines hétérogénéités mécaniques.— (Guy Lahuec, Contribution à l’étude de quelques problèmes géologiques liés au dragage en mer, 1973, page 46)
La halde est alors plutôt constituée de fragment de la roche encaissante formée par des gneiss.— (C. Mahé-Le Carlier, Alain Ploquin et P. Fluck, « Apport de la géochimie et de la pétrologie à la connaissance de la métallurgie primaire du plomb argentifère au Moyen Âge », ArcheoSciences [En ligne], 34 ; 2010, mis en ligne le 11 avril 2013, consulté le 26 décembre 2023. URL : http://journals.openedition.org/archeosciences/2728 ; DOI : https://doi.org/10.4000/archeosciences.2728)
Ses murs étaient en gneiss ; sa façade, son seuil, l’encadrement externe de ses fenêtres, son entablement et une partie au moins de sa toiture, en marbre ; les montants et le linteau de sa porte, l’encadrement intérieur de ses fenêtres, son plafond et sa charpente, en bois.— (Riccomini, Anna Maria, et al. « Comptes rendus bibliographiques », Revue archéologique, vol. 72, no. 2, 2021, pp. 391-445.)