[…] et d’ailleurs rien ne serait plus facile que de protéger ces passages par quelques fortins préparés à l’avance.— (Anonyme, « La Neutralité de la Suisse », Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
À midi, on dépassait le fort abandonné de Tapalquem, premier anneau de cette chaîne de fortins tendue sur la lisière du sud contre les indigènes pillards.— (Jules Verne, Les Enfants du capitaine Grant, 1846)
Agadem, qu'il ne faut pas confondre avec Agadès, capitale de l'Aïr, est un ancien fortin abandonné, du type classique à cour intérieure, avec bâtiments donnant sur le puits et arcades en forme de cloître ; le fort est en ruine, […].— (Roger Frison-Roche, Mission Ténéré, Paris : éd. Arthaud, 1960)