compagnon(gne)
: compagnon’gne, compagnon(-gne), compagnon-gne, compagnon, gne, compagnon, -gne, compagnon.gne, compagnon/gne, compagnon·gne
Étymologie
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Nom commun
[modifier le wikicode]| Singulier | Pluriel | |
|---|---|---|
| Masculin et féminin |
compagnon(gne) | compagnon(gne)s |
| \kɔ̃.pa.ɲɔ̃.ɲə\ | ||
compagnon(gne) \kɔ̃.pa.ɲɔ̃.ɲə\ neutre
- Écriture inclusive de compagnon/compagne.
Au nom de l’amour, nous demandons tout à notre compagnon(gne). Il doit être amant(e)-ami(e)-époux(se)-père-mère de nos enfants-éducateur(trice)-travailleur(se)-collaborateur(trice). Et il faut encore se partager les tâches domestiques.
— (Marie-Odile Métral, Le Mariage : les hésitations de l’Occident, Aubier Montaigne, 1977, page 111)23. Parlons maintenant de la manière dont votre conjoint(e)/compagnon(gne) réagit face à un problème ou une difficulté.
— (Catherine Bonvalet, Jim Ogg, Enquêtes sur l’entraide familiale en Europe : bilan de 9 collectes, ch. VIII (Enquête « Cohésion, régulation et conflits »), collection Méthodes et savoirs, Institut national d’études démographiques / The Young Foundation, 2006, ISBN 2-7332-6004-9, page 209)