choyé
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- Adjectivation du participe passé du verbe choyer.
Adjectif
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | choyé \ʃwa.je\
|
choyés \ʃwa.je\ |
Féminin | choyée \ʃwa.je\ |
choyées \ʃwa.je\ |
choyé \ʃwa.je\
- Qui est entouré de soins attentifs et constants, d'affection, de tendresse vive et parfois outrée.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Qui est conservé avec soin et entretenu avec amour.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Qui a été réalisé avec un soin extrême.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Pour une idée ou un état, qui est entretenu avec complaisance.
Un rêve si longtemps choyé
— (G. Duhamel, Chronique des Pasquier,Vue de la Terre promise, 1934, p. 118)
Traductions
[modifier le wikicode]Forme de verbe
[modifier le wikicode]Voir la conjugaison du verbe choyer | ||
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Participe | ||
Passé | (masculin singulier) choyé | |
choyé \ʃwa.je\
- Participe passé masculin singulier du verbe choyer.
Jacquemin, que choyait la petite baronne ; Jacquemin, un des gardiens patentés de la gloire et de la gloriole, pour tous ceux qui, à Paris, vivent de tapage et pour le tapage, grandes dames éprises de réclames ou comédiennes affolées de rôles nouveaux ; Jacquemin, un des porte-plumes de la Renommée, reçu partout, choyé, adulé, caressé, pouleté, ce Jacquemin que le prince venait de revoir, très élégant, avec son stick et son monocle, et l’air pimpant, léger, dégagé, dédaigneux et qui disait, en homme habitué à toutes les élégances, fatigué de luxe, blasé de fêtes, n’estimant que ce qui est chic, comme on dit, coté et parfumé : Les belles petites sont rares !
— (Jules Claretie, Le prince Zilah, E. Dentu éditeur, Paris, 14e édition)
Anagrammes
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Références
[modifier le wikicode]« choyé », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage