chiroptérologue
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- (Attesté en 1988)[1] Français savant : voir → chiroptère, -o-, -logue.
Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
chiroptérologue | chiroptérologues |
\ki.ʁɔp.te.ʁɔ.lɔɡ\ |
chiroptérologue \ki.ʁɔp.te.ʁɔ.lɔɡ \ masculin et féminin identiques
- Scientifique spécialiste de l’étude des chauves-souris, également connue sous le nom de chiroptérologie.
Des soirées de capture au filet ont réuni nos chiroptérologues : un Vespertilion de Daubenton (mâle), une Pipistrelle de Kuhl (femelle post-lactante) et un Vespertilion de Bechstein (femelle post-lactante) ont été capturés.
— (Prospection estivale en Bresse bourguignonne dans Bulletin trimestriel de la Société d'histoire naturelle et des amis du Muséum d'Autun, avril 1999, page 5 → lire en ligne)En cas de découverte d’une chauve-souris morte, blessée, affaiblie ou qui présente des difficultés à voler, il est recommandé de ne pas la toucher, de ne pas la ramasser et de prévenir un vétérinaire ou un chiroptérologue, c’est-à-dire un spécialiste de cet animal.
— (La chauve-souris, plus batman que joker, La Dépêche.fr, 30 juillet 2010)« Nous y avons repéré quatre espèces : la pipistrelle de Nathusius, la noctule commune, la sérotine bicolore et la noctule de Leisler », affirme Thomas Deana, chiroptérologue à la ligue pour la protection des oiseaux (LPO).
— (Canardeau, Pales tragiques pour les chauves-souris, Le Canard Enchaîné, 14 février 2018, page 5)
Apparentés étymologiques
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]- Anglais : chiropterologist (en)
- Espagnol : quiropterólogo (es) masculin, quiropteróloga (es) féminin
- Italien : chirotterologo (it) masculin, chirotterologa (it) féminin
Prononciation
[modifier le wikicode]- La prononciation \ki.ʁɔp.te.ʁɔ.lɔɡ\ rime avec les mots qui finissent en \ɔɡ\.
- Île-de-France (France) : écouter « chiroptérologue [Prononciation ?] »
Références
[modifier le wikicode]- ↑ Bernard Hamon, dans Spelunca, no 31, Fédération Française de Spéléologie, Paris, juillet-septembre 1988, page 54. → Lire en ligne