Du latin chartularius (« préposé à la gestion des registres ») avec réfection du radical suivant carte, charte. De là, le latin médiéval chartularium (« recueil de chartes »).
Ceux-là le croiront qui admettent que Guibour, femme de Guillaume d'Orange, a pu entrer dans la légende sans le concours des moines de Gellone, lesquels conservaient son nom dans leur cartulaire ; […].— (Joseph Bédier, La légende de Raoul de Cambrai, 1926, dans Revue historique, Vol.97, Librairie G. Baillière, 1965, p.10)