branc-ursine
Apparence
:
Étymologie
[modifier le wikicode]- (1771) [2] Du moyen français brance ursine (XVe siècle) [1] ; du latin médiéval branca ursina « patte d’ours » [2].
Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
branc-ursine | brancs-ursines |
\bʁɑ̃.k‿yʁ.sin\ |
branc-ursine \bʁɑ̃.k‿yʁ.sin\ féminin
- (Botanique) (Vieilli) ou (Régionalisme) Un des noms de la berce sphondyle (Heracleum sphondylium Linnaeus, 1753).
C’est meublé de quelques pots, d’un grabat de paille ou de goémon lavé et séché, d’une grosse couverture de créseau, et de quelques mèches de suif avec un briquet et des tiges creuses de branc-ursine pour allumettes.
— (Victor Hugo, Quatrevingt-treize, 1874)Celles qui m’ont donné une grande quantité d’alcali sont l’angélique, la coriandre, la sanicle, la berce, la branc-ursine et le buplèvre perfolié.
— (Henri Braconnot, Examen des acides végétaux qui saturent la potasse et la chaux dans les plantes, in Annales de chimie et de physique, 1809)
- (Botanique) Nom vernaculaire de l'acanthe [1] [2], Acanthus mollis.
Variantes orthographiques
[modifier le wikicode]Dérivés
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]Références
[modifier le wikicode]- « branc-ursine », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- Flore forestière française, 1989, p. 1013 ISBN 2904740163
- [1] : « branc-ursine », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
- [2] : « branc-ursine », dans [Jésuites de] Trévoux, Dictionnaire universel françois et latin, 1704–1771 → consulter cet ouvrage [1]