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La terre était inculte, et couverte d’une herbe jaune et brune dont le paysan nous apprit que c’était de la « baouco ». On aurait dit du foin séché, mais c’est là son teint naturel. Au printemps, pour participer à l’allégresse générale, elle fait un effort et verdit faiblement. Mais malgré cette pauvre mine, elle est vivace et vigoureuse, comme toutes les plantes qui ne servent à rien.— (Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957, collection Le Livre de Poche, pages 155-156)