Utilisateur:Sayoxime/test
Apparence
Cardinaux en français (orthographe de 1990, échelle longue à partir du milliard)
Notes : Septante et nonante se retrouvent en Belgique, Suisse et Congo-Kinshasa,
100 | cent |
---|---|
200 | deux-cents |
300 | trois-cents |
400 | quatre-cents |
500 | cinq-cents |
600 | six-cents |
700 | sept-cents |
800 | huit-cents |
900 | neuf-cents |
1 000 | mille, mil |
---|---|
2 000 | deux-mille |
3 000 | trois-mille |
4 000 | quatre-mille |
5 000 | cinq-mille |
6 000 | six-mille |
7 000 | sept-mille |
8 000 | huit-mille |
9 000 | neuf-mille |
1100 | mille-cent onze-cents |
---|---|
1200 | mille-deux-cents douze-cents |
1300 | mille-trois-cents treize-cents |
1400 | mille-quatre-cents quatorze-cents |
1500 | mille-cinq-cents quinze-cents |
1600 | mille-six-cents seize-cents |
---|---|
1700 | mille-sept-cents dix-sept-cents |
1800 | mille-huit-cents dix-huit-cents |
1900 | mille-neuf-cents dix-neuf-cents |
1 000 000 = 1 0001+1 | million | 1 000 × 1 000 000 = 1 0001+2 | milliard |
---|---|---|---|
1 000 0002 = 1 0001+3 | billion mille milliards |
1 000 × 1 000 0002 = 1 0001+4 | billiard millions de milliards |
1 000 0003 = 1 0001+5 | trillion milliard de milliards |
1 000 × 1 000 0003 = 1 0001+6 | trilliard mille milliards de milliards |
1 000 0004 = 1 0001+7 | quadrillion quatrillion |
1 000 × 1 000 0004 = 1 0001+8 | quadrilliard quatrilliard |
1 000 0005 = 1 0001+9 | quintillion | 1 000 × 1 000 0005 = 1 0001+10 | quintilliard |
1 000 0006 = 1 0001+11 | sextillion | 1 000 × 1 000 0006 = 1 0001+12 | sextilliard |
1 000 0007 = 1 0001+13 | septillion | 1 000 × 1 000 0007 = 1 0001+14 | septilliard |
1 000 0008 = 1 0001+15 | octillion | 1 000 × 1 000 0008 = 1 0001+16 | octilliard |
1 000 0009 = 1 0001+17 | nonillion | 1 000 × 1 000 0009 = 1 0001+18 | nonilliard |
1 000 00010 = 1 0001+19 | — | 1 000 × 1 000 00010 = 1 0001+20 | — |
---|---|---|---|
1 000 00011 = 1 0001+21 | — | 1 000 × 1 000 00011 = 1 0001+22 | — |
1 000 00012 = 1 0001+23 | — | 1 000 × 1 000 00012 = 1 0001+24 | — |
1 000 00013 = 1 0001+25 | — | 1 000 × 1 000 00013 = 1 0001+26 | — |
1 000 00014 = 1 0001+27 | — | 1 000 × 1 000 00014 = 1 0001+28 | — |
1 000 00015 = 1 0001+29 | — | 1 000 × 1 000 00015 = 1 0001+30 | — |
1 000 00016 = 1 0001+31 | — | 1 000 × 1 000 00016 = 1 0001+32 | — |
1 000 00017 = 1 0001+33 | — | 1 000 × 1 000 00017 = 1 0001+34 | — |
1 000 00018 = 1 0001+35 | — | 1 000 × 1 000 00018 = 1 0001+36 | — |
Documentation
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Étymologie
[modifier le wikicode]- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun
[modifier le wikicode]Singulier | Pluriel |
---|---|
Sayoxime/test | Sayoxime/tests |
\ok.to.de.si.ljɔ̃\ |
octodécillion \ok.to.de.si.ljɔ̃\ masculin, cardinal
- (Mathématiques) Un million de septendécillions, 10108.
Dérivés
[modifier le wikicode]Traductions
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Notes
[modifier le wikicode]- Au Canada français, le mot semble connaître un essor particulier à partir de l’an 2000. Une étude effectuée par François Lavallée, traducteur agréé et chargé de cours à l’Université Laval, montre que sa fréquence annuelle dans le journal québécois Le Devoir est restée inférieure à 20 tout au long des années 1990 pour se mettre à grimper radicalement au tournant du siècle et friser la centaine – ayant donc quintuplé – en 2003. L’usage demeure marginal, mais il semble y avoir un mouvement.
- Selon Jacques Desrosiers du Bureau de la traduction du gouvernement canadien et André Racicot, l’usage et la promotion du mot est à tendance péjorative : Jacques Desrosiers, « Nos voisins les « États-Uniens » » (Archive • Wikiwix • Que faire ?), Volume 4/4, L’Actualité langagière, Décembre 2007 sur www.btb.gc.ca. Consulté le 25 mai 2010, brisé le juin 2014. « De plus, s’il y a un brin d’anti-américanisme dans la promotion d’états-unien, forcément il sera lui aussi péjoratif. C’est comme si on remettait chaque fois sous le nez des Américains la carte du continent. ».
- Cette tendance pourrait être attribuée au besoin des francophones d’Amérique de se distinguer de leurs voisins du Sud, habitants des États-Unis. En effet, au sens continental, les Canadiens et les Québécois sont bien des « Américains ». À noter d’ailleurs que le mot Amérique n’est jamais utilisé au Québec pour désigner les États-Unis : on dira « les États-Unis » ou encore « les États ».
- La plupart des pays d’Europe ne semblent pas sentir ce besoin de distinguer entre américain au sens national (ici états-unien) et américain au sens continental. Notons toutefois que le mot statunitense, équivalent morphologique d’états-unien, est utilisé en Italie, bien que le terme americano soit très courant. L’expression US-amerikanisch est connue en Allemagne, mais peu usitée.
- En espagnol, toutefois, le mot americano est surtout utilisé au sens continental, et ce, des deux côtés de l’Atlantique. Au sens national, le mot estadounidense est encore courant, outre le vocable gringo (qui n’a pas nécessairement un sens péjoratif) dans la langue populaire. Le mot norteamericano est cependant plus usitée en Espagne.
- À noter que certains habitants des États-Unis ont eux-mêmes cherché à se désigner par un terme plus spécifique qu’American. The Free Dictionary et Wiktionary, the free dictionary [1] consignent des dizaines de solutions (ex. : United Statesian [2], "United Statian" [3], "US-ian" [4], "Usanian" [5], "Usonan" [6], Americanite, Columbard), mais elles demeurent très marginales. L’architecte Frank Lloyd Wright parlait volontiers de la usonian architecture. Il se rencontre également parmi les locuteurs et écrivains anglophones "US-American" [7] ou "U.S. American" [8] ou "US American" [9].
- En français, le terme demeure d’un usage minoritaire. Sur un plan officiel, « Américain » est le seul terme indiqué dans le code de rédaction interinstitutionnel de l’Union européenne[1] ainsi que dans la Liste annexée à l’arrêté français du 4 novembre 1993, qui contient les recommandations de la France pour ses fonctionnaires sur l’usage des gentilés.
- De plus, le terme « états-unien » n’a pas d’équivalent reconnu en langue anglaise, si ce n’est usonian déjà cité, qui n’est guère usité sauf pour parler d’une architecture états-unienne « à la Frank Lloyd Wright ». Il est, par ailleurs, majoritairement employé dans un contexte critique à l’égard des États-Unis (Viviane Serfaty, « La persuasion à l’heure d’internet. Quelques aspects de la cyberpropagande », Vingtième Siècle. Revue d’histoire, n°. 80, octobre-décembre 2003, Presses de Sciences-Po). Jacques Desrosiers, dans un article publié par le Bureau de Traduction du Canada, note que « le mot est marqué à gauche sur l’échiquier politique » au Canada et qu’il a peu de chances d’y passer réellement dans l’usage courant : « Pensons à tout ce qu’il faudrait rebaptiser. Ne dites pas : la guerre américano-mexicaine, dites : la guerre mexicano-états-unienne. Ne dites pas : la révolution américaine, les relations canado-américaines, le vin américain, etc. Dites : l’armée états-unienne, les Noirs états-uniens, Je me suis acheté une voiture états-unienne. Et n’oublions pas les cinquante États états-uniens. Nul ne contestera que la logique plaide pour états-unien. Mais en face il y a l’histoire, l’usage, la langue, l’euphonie, les habitudes. […] De plus, s’il y a un brin d’anti-américanisme dans la promotion d’états-unien, forcément il sera lui aussi péjoratif. C’est comme si on remettait chaque fois sous le nez des Américains la carte du continent. » (« Nos Voisins les « États-Uniens ? », L’Actualité langagière, décembre 2007).
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