Port-Gueydon
Apparence
Étymologie
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Nom propre
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Port-Gueydon \Prononciation ?\ |
Port-Gueydon \Prononciation ?\
- (Géographie) Nom, à l’époque de la colonisation française, de la ville algérienne de Azeffoun.
De ces trois lieux, Azeffoun ou Zeffoun, désormais Port-Gueydon, Tigzirt, Dellis, deux ont un passé phénicien - peut-être trois, mais l’histoire ne nous le prouve que pour deux.
— (Onésime Reclus, La France et ses colonies, tome 2 : Nos colonies, Paris : Librairie Hachette, 1889, p. 158)
Port-Gueydon fut la Rusubezer des Romains ; ce mot, qui n’a rien de latin, nous montre le rus ou rous caractéristique des noms donnés à tant de ports par la langue de Tyr et Sidon.Le 1er novembre 1954, Fellag a quatre ans lorsque commence la guerre de libération. Les avions bombardent les villages près de Port-Gueydon, mais cela lui semble un jeu, ces bruits, ces mouvements.
— (Mohamed Fellag, Djurdjurassique Bled, Éditions Jean-Claude Lattès, 1999)Sa compagnie d’appui ne lui sert à rien, elle est à Port-Gueydon , tandis que les autres compagnies sont dispersées, en 1957, dans une multitude de postes autour de Tirzirt, Mekla et Azazga.
— (Jean-Charles Jauffret, « Une armée à deux vitesses en Algérie (1954-1962) : réserves générales et troupes de secteur », dans Militaires et guérilla dans la guerre d’Algérie, sous la direction de Jean-Charles Jauffret & Maurice Vaïsse, actes du colloque de Montpellier des 5 & 6 mai 2000, Centre d’études d’histoire de la défense (France), Editions Complexe, 2001, p. 29)
Traductions
[modifier le wikicode]Voir aussi
[modifier le wikicode]- Azeffoun sur l’encyclopédie Wikipédia