Meur a lenn a oa hag, hervez ar cʼhoulz-amzer pe hervez al lecʼh ma chome an hini a roe dihad d’am mamm da walcʼhiñ, ez ae d’ur poull pe d’unan all.— (Goulven Jacq, Pinvidigezh ar paour, Al Liamm, 1977, pp. 120-121)
Il y avait plusieurs lavoirs, et en fonction de la saison ou en fonction de l’endroit où habitait celle qui donnait des vêtements à laver à ma mère, elle allait à un lavoir ou à un autre.
Al lennoù all a oa plijusocʼh : nebeutocʼh a gouezierezed en-dro dezho, ha peurvuiañ tud a anavezen.— (Goulven Jacq, Pinvidigezh ar paour, Al Liamm, 1977, p. 122)
Les autres lavoirs étaient plus agréables : moins de laveuses autour, et généralement des gens que je connaissais.