J’aime pas mon État, c’est la vérité On n’a rien appris grâce à leur bla-bla, on a vu la mer grâce à la MJC— (Ben PLG, Jusqu’à qu’elle s’aime, Réalité Rap Musique, Vol. 2, 2022)
[…] : moins fermée que la première, la boum de MJC en partageait la musique exclusivement jeune, mais restait beaucoup plus accessible pour les moins âgés ou ceux dont les familles étaient suspicieuses. Elle était, en effet, surveillée par un directeur et se déroulait dans un lieu connu, souvent l’après-midi. Les MJC proposaient aussi des bals mais, selon un calendrier fixe, à la différence des boums : bal de rentrée, du nouvel an... ouverts aux adultes, […].— (Laurent Besse, Les MJC: De l’été des blousons noirs à l’été des Minguettes, 1959-1981, Presses universitaires de Rennes, 2008)