Kann der Kranke nicht umgesetzt werden, sollte die Crew gemäß der Checkliste versuchen, mit Decken die Sitzreihe des Patienten vom Rest der Kabine abschirmen.— (« Gefahrenpunkt Luftverkehr », dans Der Spiegel, 11 février 2020 [texte intégral])
Si le malade ne peut pas être placé sur un autre siège, l’équipage doit essayer, conformément à la liste de contrôle, d’isoler la rangée de sièges du patient du reste de la cabine à l’aide de couvertures.
Er fand seinen ersten Kranken im Bett vor, (...) ein alter Spanier mit einem strengen, zerfurchten Gesicht.— (Albert Camus, traduit par Uli Aumüller, Die Pest, Rowohlt Verlag, 1997)
Il trouva son premier malade au lit, (...) C’était un vieil Espagnol au visage dur et raviné.
Das epidemische Fieber zu diagnostizieren bedeutete so viel, wie den Kranken schleunigst abholen zu lassen. (...) In diesen von Fieber und Angst überhitzten Wohnungen spielten sich Irrsinnsszenen ab. Aber der Kranke wurde weggebracht.— (Albert Camus, traduit par Uli Aumüller, Die Pest, Rowohlt Verlag, 1997)
Diagnostiquer la fièvre épidémique revenait à faire enlever rapidement le malade. (...) Dans ces appartements surchauffés par la fièvre et l’angoisse, des scènes de folie se déroulaient. Mais le malade était emmené.
«Gib mir doch noch das ‹Life›», verlangte der Kranke scheinbar gleichgültig. Hungertobel gab ihm eine Zeitschrift vom Stoß, der auf dem Nachttisch lag.— (Friedrich Dürrenmatt, traduit par Armel Guerne, Der Verdacht, Verlagsanstalt Benziger & Co. AG., Zürich, 1961)
— Donne-moi donc un peu le Life, lui demanda encore le malade avec une feinte indifférence, et le docteur lui tendit un quelconque numéro qu’il avait pris sur la pile de la table de nuit.