Kharism
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Étymologie
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- De l’ouzbek Xorazm.
Nom propre
[modifier le wikicode]| Nom propre |
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| Kharism \ka.ʁism\ |
Kharism \ka.ʁism\ masculin
- (Toponyme) Autre nom du Khwarezm, région historique située au sud de la mer d’Aral, entre les actuels Ouzbékistan, Kazakhstan, Turkménistan et Iran.
- Kharism, pays de la Tartarie indépendante, dont il forme la partie S. O. II est baigné au N. par la mer d’Aral, à l’O. par la mer Caspienne, touche vers le S. à la Perse, et à l’orient, du côté de la Boukharie, s’avance peu à l’E. du Djihoun. On peut lui donner 150 l. [lieues] du N. au S. et 130 l. de l’E à l’O. Excepté dans le fertile territoire de Khiva, où coule le Djihoun, qui s’y partage en un grand nombre de canaux, le Kharism n’offre guère que des déserts, qui se présentent sous divers aspects : tantôt ce sont des steppes herbacées, où les Turcomans font paître leurs troupeaux ; sur d’autres points, on voit des montagnes escarpées et arides, comme celles de Balkan, autour du grand golfe du même nom ; enfin, vers le S., entre le Djihoun et le Tedzen, sont de grandes plaines sablonneuses, qu’on appelle proprement le désert de Kharism.
Le Kharism tire son nom des Chorasmiens [Korasmiens ou Khorezmiens] qui habitaient autrefois cette contrée, et chez lesquels on trouvait la ville de Chorasmia, maintenant Ourghendj [Kounya-Ourguentch]. On l’a souvent appelé et on l’appelle encore quelquefois Khovaresm. Le Kharism est en grande partie possédé par le khan de Khiva. — (Dictionnaire géographique universel, tome troisième, A. J. Kilian, Libraire, Paris, 1826)
- Kharism, pays de la Tartarie indépendante, dont il forme la partie S. O. II est baigné au N. par la mer d’Aral, à l’O. par la mer Caspienne, touche vers le S. à la Perse, et à l’orient, du côté de la Boukharie, s’avance peu à l’E. du Djihoun. On peut lui donner 150 l. [lieues] du N. au S. et 130 l. de l’E à l’O. Excepté dans le fertile territoire de Khiva, où coule le Djihoun, qui s’y partage en un grand nombre de canaux, le Kharism n’offre guère que des déserts, qui se présentent sous divers aspects : tantôt ce sont des steppes herbacées, où les Turcomans font paître leurs troupeaux ; sur d’autres points, on voit des montagnes escarpées et arides, comme celles de Balkan, autour du grand golfe du même nom ; enfin, vers le S., entre le Djihoun et le Tedzen, sont de grandes plaines sablonneuses, qu’on appelle proprement le désert de Kharism.
Synonymes
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]→ voir Khwarezm