Karakoch
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
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Nom propre [modifier le wikicode]
Karakoch \ka.ʁa.kɔʃ\
- Variante orthographique de Qarakosh.
Au point de contrôle qui barre l’accès principal à la ville, les forces spéciales en treillis et béret bordeaux filtrent les entrées, sous un grand portrait de l’évêque syrien-catholique de Mossoul, réfugié lui aussi à Karakoch.
— (Guillaume Perrier, « À Karakoch, les chrétiens irakiens vivent sous la protection des peshmergas », Le Monde.fr, 21 juin 2014)À Karakoch, ville où les chrétiens se sentent en sécurité grâce à des centaines d’hommes armés pour les protéger, l’évêque, Mgr Carmoussa, avait réuni toute la communauté dans sa grande église, décorée de marbre de Ninive, pleine d’une foule attentive.
— (Pierre de Charentenay, « À la rencontre des derniers chrétiens d’Irak », Études 6/2008 (tome 408), pages 809-818)Dans les bourgs majoritairement chaldéens du Nord, les populations se sentent assiégées et n’osent plus guère s’aventurer à l’extérieur. À Karakoch, les étudiants, depuis l’attaque de leur car de ramassage, ne veulent plus aller à l’université.
— (Jean-Pierre Perrin, « La terreur islamiste pousse les chrétiens d’Irak à l’exil », Libération.fr, 14 décembre 2004)Il a en outre neuf villages chrétiens, dont six sont chaldéens catholiques : Tell-Keif, Batnai, Keremles, Tell-Eskof, Bakofa et Alkoch et trois syriens, dont un catholique : Karakoch ; les deux autres sont mélangés de catholiques et d’hérétiques, à savoir Bahzani et Bachiqa.
— (Giuseppe Campanile, Histoire du Kurdistan, traduction de l’italien par Thomas Bois de 1953, « Études kurdes », hors série numéro 1, avril 2004)
Voir aussi[modifier le wikicode]
- Karakoch sur l’encyclopédie Wikipédia