Qu’il s’employât à surveiller en rôdeur les bals de la rue Dunoir, de la Part-Dieu, de la rue de l’Arquebuse, ou les brasseries célèbres du Griffon, de la Morue sans tête, le bar de l’Égyptienne, les petits débits de la place de la Guille, ou qu’il opérât une action plus décisive aux alentours de la gare Perrache, il était sans cesse dévoré de souci.— (Francis Carco, Jésus-la-Caille, Deuxième partie, ch. V, Le Mercure de France, Paris, 1914)
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