Discussion:dormable
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Dernier commentaire : il y a 14 ans par Lmaltier
Je ne trouve pas de référence pour ce mot. José (Jjackoti) 4 juin 2010 à 14:55 (UTC)
- En outre, dormir n’étant pas transitif, la définition est mal formulée. — Dakdada (discuter) 4 juin 2010 à 15:23 (UTC)
- En tout cas, on trouve plusieurs exemples au moins sur Google. 79.85.113.215 4 juin 2010 à 20:24 (UTC)
- Et quels exemples! édifiants! On n'en comprend même pas le sens. François GOGLINS 4 juin 2010 à 20:28 (UTC).
- Les exemples donnés dans l'article sont compréhensibles, c'est le principal. 79.85.113.215 4 juin 2010 à 20:51 (UTC)
- Et quels exemples! édifiants! On n'en comprend même pas le sens. François GOGLINS 4 juin 2010 à 20:28 (UTC).
- En tout cas, on trouve plusieurs exemples au moins sur Google. 79.85.113.215 4 juin 2010 à 20:24 (UTC)
- Dans la mesure où on dort la nuit, la nuit devient donc dormable, c'est ce que l'on nomme transitiver un verbe intransitif, grâce aux derniers progrès de la grammaire française. Merci au progrès grammatical! 193.248.162.153 11 juin 2010 à 12:42 (UTC).
- De quel « progrès » parlez-vous ? Je ne comprends pas bien...--Actarus (Prince d'Euphor) 11 juin 2010 à 13:15 (UTC)
- Le progrès qui élimine les règles académiques, et qui ouvre les possibilités d'usage. Chacun crée sa règle et ses mots, et le marché, par sa main invisible, régule tout cela. C'est ce qui se passe depuis longtemps, et ça marche du feu de Dieu. Nous parlons de plus en plus comme les présentateurs sportifs de TF1. Merci à l'abaissement des barrières gramaticales. 193.248.1.141 11 juin 2010 à 13:50 (UTC).
- Non, quand on dort « la nuit », on dort « pendant la nuit » (pas COD). Ça ne rend pas le verbe transitif. Parler mal n’est pas forcément un progrès. — Dakdada (discuter) 11 juin 2010 à 13:54 (UTC)
- Mais où avez-vous vu que chacun créé sa propre règle ; c’est vraiment du n’importe quoi…--Actarus (Prince d'Euphor) 11 juin 2010 à 16:25 (UTC)
- Chacun ne crée pas sa propre règle. Simplement, la langue change, les mots et leur usage aussi, et les règles changent donc avec le temps (en étant toujours prises en compte avec retard dans les ouvrages de référence). Lmaltier 11 juin 2010 à 16:50 (UTC)
- Mais où avez-vous vu que chacun créé sa propre règle ; c’est vraiment du n’importe quoi…--Actarus (Prince d'Euphor) 11 juin 2010 à 16:25 (UTC)
- De quel « progrès » parlez-vous ? Je ne comprends pas bien...--Actarus (Prince d'Euphor) 11 juin 2010 à 13:15 (UTC)
- Ben! avec l'ébauche de dormable, par un contributeur anonyme en plus, nous ne sommes pas bien loin de la création à l'inspiration. Le mot n'a vraiment guère de sens. Et nous ne connaîtrons même jamais l'inspiré, c'est dommage. François GOGLINS 11 juin 2010 à 17:08 (UTC).
- Je n'ai jamais employé ce mot, mais sa formation me parait tout de même extrêmement naturelle, je ne suis pas d'accord pour dire qu'il n'a guère de sens. Lmaltier 11 juin 2010 à 17:10 (UTC)
- <conflit>@ Lmaltier : tu oublies comme d’habitude de prendre en compte le fait qu’à partir du moment où une langue s’écrit (comme le français), il s’établit une distinction entre une langue écrite, soutenue et normée par les grammairiens et une langue orale, usuelle de la conversation courante ; même le français médiéval écrit suivait des normes (contrairement à ce que tu as pu lire (?), mais bien entendu, pas aussi rigoureuses et « maniaques » qu’au XVIIe siècle). Donc : à partir du moment où une langue s’écrit, elle connaît plusieurs registres d’usage : en gros une langue soutenue et une langue familière…
- Il va de soi que seules les classes cultivées usent, selon les circonstances, de l’une ou de l’autre ; les classes populaires ne connaissent que la seconde.
- Prenons l’exemple bien connu de la négation du verbe en français : en nostre bel langage, la négation est double : ne… pas (ou ne… point, vx. et littéraire). Ex. :ce n’est pas vrai. Ceci est la norme : bien entendu, toi comme moi, dans la langue parlée familière usuelle, nous disons : « c’est pas vrai »…
- Mais comme nous sommes, toi et moi, pas trop bêtes et pas trop incultes, quand nous nous exprimons par écrit (et ici même au Wiktionnaire), nous écrivons : « ce n’est pas vrai ». Autrement dit, nous appliquons la règle. Il est évident que la gent peu lettrée ne connaît pas cette forme-là et n’emploie que la tournure « c’est pas vrai ».
- Qu’est-ce à dire ? Que la simple négation est appelée à devenir la norme, alors qu’elle est certainement majoritaire dans la langue parlée ? Ça m’étonnerait… Du moins, tant que le français s’écrira et s’enseignera…
- --Actarus (Prince d'Euphor) 11 juin 2010 à 17:42 (UTC)
- Bien sûr, il y a plusieurs registres de langue. Mais tous ces registres sont du français. Est-ce que la simple négation est appelée à devenir un jour la norme du français écrit ? Je n'en sais absolument rien, et personne n'en sait rien (sauf les voyantes extra-lucides, peut-être). Lmaltier 11 juin 2010 à 19:29 (UTC)
- Je n'ai jamais employé ce mot, mais sa formation me parait tout de même extrêmement naturelle, je ne suis pas d'accord pour dire qu'il n'a guère de sens. Lmaltier 11 juin 2010 à 17:10 (UTC)