Cérigo et Cérigotto montraient encore à l’horizon leurs contours anguleux ; bientôt nous tournâmes la pointe du cap Malée, passant si près de la Morée, que nous distinguions tous les détails du paysage. — (Gérard de Nerval, Voyage en Orient, 1851, Introduction, chapitre VIII (Les Cyclades), incipit. Calmann Lévy, 1884 (Œuvres complètes de Gérard de Nerval, II. Voyage en Orient, I, page 22) ; Lire dans Wikisource : s:Voyage en Orient (Nerval)/Introduction/VIII pour le chapitre et s:Page:Nerval - Voyage en Orient, I, Lévy, 1884.djvu/34 pour la page 22.)